Ses mains se resserrent encore plus sur mes hanches et l’air dans mes poumons est arraché.
Putain, Soren me touche !!! Dans ma tête, la petite voix hurle en même temps que ma louve qui n’arrête pas de rebondir.
Mon corps est illuminé comme s’il s’embrasait, je m’imprègne de sa sensation, j’essaie autant que possible de me mettre au diapason de son corps.
Le sentant se pencher sur moi, je retiens ma respiration. « Qu’est-ce que tu fais Lux ? » Sa voix est si profonde que je jure pouvoir la sentir vibrer dans ses cordes vocales, plus fort que les basses de la boîte.
Son ronronnement va jusqu’à ma chatte qui crie à la sensation, mon excitation devient si forte qu’on peut presque la goûter, presque comme si je le suppliais de me prendre, et putain, j’aimerais bien qu’il le fasse.
Sans bouger un muscle, je m’imprègne de la sensation de ses mains sur moi. Ses mains sont rugueuses et épaisses, je les regarde magnifiquement bronzées, je parcours son bras droit jusqu’à la manche, les veines de ses bras attirent mon attention et rendent mon besoin de passer ma langue dessus encore plus fort.
Il passe son nez dans mon cou pendant que je fantasme sur toutes les choses que ces bras pourraient me faire. Ce mouvement me fait gémir de surprise et ma chatte se serre par anticipation. Il ronronne pratiquement dans mon oreille.
« As-tu apprécié les mains de cet homme sur toi, ma petite Lux ? » Sa main droite relâchant sa prise, je gémis lorsqu’elle touche l’intérieur de ma cuisse.
« Tu es une mauvaise fille Lux, en flirtant avec ce pauvre humain, en lui faisant croire qu’il aurait une chance de te baiser. Comme s’il était capable de te satisfaire, toi ou ta louve. » Ma louve salive à ces mots, alors que tout ce que je peux faire c’est geindre aux mouvements lents que sa main élabore sur ma jambe.
Sa main gauche a fait le tour de mon corps et m’a attiré contre son corps tonique, me bloquant ainsi sur place.
« C’est ce que tu veux Zayla ? Un humain ? Quelqu’un de faible ? » À sa question, je l’ai enfin entendue ! La jalousie.
« Tu es jaloux, Soren ? » Ma voix est plus rauque que jamais auparavant. Si l’odeur de mon excitation n’était pas un signe évident, ma voix l’était.
Ma question lui vaut un profond gloussement à l’oreille, et je sens ses crocs sortir alors qu’il les fait courir le long des veines de mon cou. Jusqu’à l’endroit où se trouve ma marque. L’acte provoqua un fort gémissement en moi, et mes hanches se sont écrasées sur sa queue qui durcissait.
La sensation est paradisiaque, alors je recommence, en faisant courir mon cul de haut en bas le long du contour épais de sa bite gonflée à travers son jean, tandis qu’il embrasse à nouveau la tache sur mon cou.
« Moi, jaloux ? D’un homme qui ne sera jamais capable de te toucher comme je le peux ! D’un homme que tu ne désireras jamais comme tu me désires ? » Je ne peux m’empêcher de réagir au grognement qu’il émet dans mon cou.
Je continue à gémir en le sentant, ma robe se soulevant à chaque mouvement de mes hanches, des grognements profonds s’échappant de sa gorge à un rythme lent, ce qui me fait mouiller plus que je l’imaginais.
« Non Lux je ne suis pas jaloux, tu veux savoir pourquoi ? »
Je m’enfonce encore plus dans sa poitrine, en m’assurant de tâter le plus de choses possible, et je soupire ma réponse.
« Non Soren, pourquoi ça ? » Sentant son sourire en coin sur ma nuque, il reste silencieux durant plusieurs minutes, sa main continuant de remonter le long de ma jambe, la lenteur me rendant littéralement folle.
Puis finalement, au changement de rythme dans le club, Soren mord mon cou, en même temps qu’il plonge deux de ses doigts en moi. Le mouvement me fait instantanément tomber en morceaux.
Mon corps se relâche complètement dans ses bras, puis un cri s’échappe de mes lèvres ! Mais il me tient dans sa poigne de fer qui m’assure que je n’irai nulle part de sitôt.
Ma louve est complètement silencieuse, nos corps palpitent d’extase, coulant dans chaque veine comme le feu chassant le gaz.
Il n’a fallu que quelques battements de mon cœur pour que Soren commence à remuer ses doigts en moi.
Il m’a baisé si lentement avec eux tandis qu’il retirait lentement ses crocs de mon cou. Avant de lécher la plaie pour la nettoyer.
Me marquant effectivement, mais ne complétant pas le lien. Rendant la marque seulement temporaire.
Gémissant à la sensation de ses doigts en moi, et de sa langue sur mon cou, je jette mes bras en arrière, enroulant un bras autour du sien et l’autre dans ses cheveux, le retenant fermement contre moi.
Ce geste l’a fait glousser, mais je m’en moque ! Ses cheveux sont légers et doux comme de la soie, alors que mon doigt fait le tour de sa tête, je remarque que les côtés sont plus courts alors que le dessus est plus long, mais juste assez pour y passer mes doigts.
En passant mon bras autour de son cou, le long de sa poitrine, je sens chaque ondulation et chaque muscle qui bénissent son corps.
Je n’ai pas cessé avant d’atteindre sa bite durcie. Je l’ai saisie, mes doigts se délectant de la sensation qu’elle procurait, souhaitant pouvoir la toucher sans que son pantalon ne me gêne.
Lorsqu’il mordit mon oreille, je n’ai pas pu m’empêcher de gémir, alors il commença à murmurer : « Tu ne devrais pas toucher les choses que tu ne peux pas manipuler ma petite Lux. »
L’arrogance de sa déclaration, mélangée aux mouvements de ses doigts qui accélérèrent, me fit crier et mes jambes commencèrent à trembler.
Les picotements de son doigt sur ou - dans ce cas - en moi, et issus du lien conjugal, font grimper mon corps jusqu’au vertige, sensation jamais éprouvée.
Le plaisir qu’il me procure atteint un sommet lorsque je sens ses crocs sur la marque qu’il vient de me faire, avant qu’il ne fasse glisser ses canines à un rythme lent et minutieux le long de mon cou.
« Sois une bonne petite Lux et jouis pour moi bébé, tu sais que tu le veux. » Et il a raison, mon corps l’a supplié de me laisser jouir, et il est prêt depuis qu’il est entré en moi, mais il s’est retenu. Attendant sa permission, son acceptation.
Avec un cri puissant - que je suis sûre que les gens d’une autre planète ont entendu -, ma chatte se resserre fortement sur ses doigts, les maintenant à l’intérieur tandis que je les imbibe de ma libération.
« Tu es si belle quand tu jouis. » Dit-il dans mon oreille avant de déposer un baiser sur ma marque et de retirer lentement son doigt de moi.
Je gémis à l’idée de le perdre à l’intérieur. Mon corps supplie qu’il revienne.
Je le regarde tirer sa main devant mon visage, en notant ce qui ressemble au tatouage d’un papillon bleu sur son poignet, avant de mettre ses doigts trempés dans sa bouche, juste à côté de mon oreille.
Il gémit en me goûtant, et je gémis au son de succion qu’il fait dans mon oreille. « Tu as encore meilleur goût que tu ne sens », dit-il avec un souffle bourru. Il embrasse le côté de mon cou une fois de plus, il soupire « Maintenant, sois une bonne fille Lux. »
Et comme ça, il est parti.
