Quelqu'un comme Xavier

MELODY

Il m’embrassait, moi, une inconnue qu'il avait rencontrée il y avait quelques heures à peine. J'ai écarté mes lèvres et laissé sa langue pénétrer dans ma bouche. Des lèvres douces et sensuelles ont dévoré les miennes.

Ses mains ont resserré leurs étreintes sur mes hanches. J'ai levé les miennes et les ai passées dans ses cheveux noirs.

Sa bouche a tracé ma mâchoire et a descendu le long de la peau de mon cou. Quand ses lèvres se sont posées sous mon oreille, j'ai gémi.

Nous avons entendu un "ding", qui nous a indiqué que nous avions atteint notre étage. Nous nous sommes écartés l’un de l’autre, ses yeux suivant chacun de mes mouvements. Ses yeux verts étaient ivres de passion et de désir.

En arrivant dans la chambre, j'ai sorti une carte magnétique de mon sac à main. Mes mains tremblaient presque.

"Laisse-moi faire." Il tendit la main. J'ai hoché la tête et lui ai donné la carte-clé. Lorsque la porte s'est ouverte, je suis entrée, puis il a refermé la porte derrière nous.

"Est-ce que tu veux boire quelque chose ?" ai-je demandé, ses yeux ne reflétaient que la faim et la passion brute. J'ai dégluti et bu un verre de vin entier d'un trait.

Il a juste secoué la tête. Il respirait difficilement en me regardant, et ses yeux se sont assombris.

Il s'est avancé et m’a attiré à lui, plaquant sa bouche contre la mienne, sa langue explorant tous les recoins de ma bouche. J'ai gémi avec ses lèvres encore sur les miennes, et sa main a glissé entre mes jambes tandis que son doigt caressait mes plis.

J'ai frissonné de besoin, son pouce jouant avec mon clito, ses doigts s'enfonçant dans ma chatte. Je me suis cambrée en arrière avec un gémissement.

"Putain, tu es tellement mouillée." Oui, j'étais mouillée et je le voulais. Il retira ses doigts de ma chatte et suça chaque doigt comme si mon jus était un repas gastronomique.

"J'aime ton goût", murmura-t-il en commençant à caresser mon cou, déposant des baisers légers derrière mon oreille à un endroit juste sous mon menton qui me rendait folle.

"Tu es trop bonne. Je pourrais te manger en entière pendant toute la journée."

Nous nous sommes aidés mutuellement à nous débarrasser de nos vêtements. Nous étions debout, nus, nous regardant l'un l'autre, et ses yeux balayant tout mon corps.

J'ai laissé mes yeux errer sur sa nudité, m'attardant sur ses hanches et la fière masculinité qui s'y trouvait. J'ai senti une chaleur humide inonder mon corps.

"Magnifique", laissa-t-il échapper, bien que sa voix était à présent dure et rauque. "Tellement belle, bon sang."

Ses lèvres s’écrasèrent sur les miennes, m’avalant toute entière. Je laissai échapper un cri contre sa bouche, mais il avala mes mots.

Il me souleva à la manière d'une mariée et me déposa doucement dans le lit. Il glissa ensuite son corps entre mes jambes et se pencha sur moi pour m'embrasser doucement au début, avant de m'embrasser plus fiévreusement.

Il glissa sa langue dans ma bouche, et j'aspirai sa langue dans ma bouche.

Il prit mon sein dans sa main et commença à faire rouler son pouce sur le mamelon. Je gémis et j'arquai mon dos contre le lit. Il m’envoyait des secousses dans tout le corps qui se propageaient jusqu'à mon clitoris.

Il commença à embrasser mon cou et ma clavicule, puis il descendit jusqu'à mon sein. Il glissa sa main sous moi, me faisant cambrer contre lui.

Il prit mes deux seins dans ses mains et les regarda, puis il leva les yeux vers moi et dit : "Magnifique."

Il baissa la bouche vers mon mamelon droit et commença à le sucer, puis passa sa langue dessus, ce qui me fit gémir à haute voix.

Il attrapa mes seins pleins avec ses grandes mains. Il les massa avec avidité, ses pouces passant sur mes tétons déjà durs.

"S'il te plaît, j'ai besoin de toi maintenant", gémis-je.

"Patience, ma belle." Il commença à tracer un chemin le long de mon ventre avec sa langue, fit des cercles autour de mon nombril où il plongea une seconde avant de continuer, et d’arriver à mon vagin très humide.

Il pencha la tête, frottant son nez sur ma chatte. "Tu sens si bon. J'ai hâte de goûter à ta petite chatte." Ses yeux brillaient de convoitise.

Et les miens aussi. Je le voulais autant qu'il me voulait.

Je gémis à nouveau, plus fort cette fois, lorsque son pouce est revenu sur mon clito, frottant le paquet de nerfs devenus hypersensibles. De l'humidité coula à l'intérieur de mes cuisses lorsqu'il accéléra la rotation.

"S'il te plaît", c'est tout ce que je réussis à dire. Puis il baissa la tête vers ma chatte, écarta mes lèvres et agita mon clito avec sa langue, ce qui me fit gémir bruyamment.

Mes doigts se glissèrent dans ses cheveux. Il plongea un doigt et me caressa de l'intérieur.

"Écarte plus les jambes", grogna-t-il. J'obéis.

J'ai regardé son visage pendant que j'écartais les jambes pour lui, et l'expression sur son visage était du feu pur.

Sa langue était contre mon clito, léchant de haut en bas dans des mouvements rapides et légers qui rendaient impossible toute réflexion.

J'ai roulé mes hanches et j'ai laissé échapper un petit cri quand ses léchages se sont intensifiés. Puis, il plongea sa langue en moi, bientôt remplacée par deux de ses doigts.

Il continua à lécher et sucer ma chatte pendant que ses doigts entraient et sortaient de moi dans un mouvement de rotation.

"Oh, Xavier c’est trop bon", criai-je. Il continua à me pénétrer avec deux doigts tout en posant son pouce sur mon clito et en commençant à le frotter.

"Putain, tu es délicieuse." Il commença à faire rouler mon clito avec son pouce tout en continuant à plonger sa langue en moi.

"Merde. Je suis sur le point de jouir ", dis-je en me balançant contre sa bouche pour que je puisse atteindre le climax. Je me suis serrée contre ses doigts en gémissant.

"Jouis pour moi, ma belle. Je veux tout", dit-il en fixant ses lèvres autour de ma chatte, prêt à me boire tout entière.

"Putain !" J’ai joui et pas qu’un peu. Il commença à me lécher férocement, déterminé à ne pas en perdre une goutte. Je suis restée tremblante sous la puissance de mon orgasme.

Il plaqua un baiser léger sur le haut de ma chatte et se mit à ramper jusqu'à moi, puis il m’embrassa, me laissant me goûter. "Tu es sûre que c'est seulement pour une nuit ?" demanda-t-il.

"Oui, une nuit", répondis-je, haletante d'orgasme.

"Ok, une nuit. Alors, je vais te baiser jusqu'au lever du soleil, et à chaque fois, tu crieras mon nom à pleins poumons ", dit-il.

Il ouvrit le préservatif, puis le fit rouler sur sa verge avant de s'installer entre mes jambes.

"Est-ce que tu es prête ?" demanda-t-il, en frottant sa queue sur les lèvres de ma chatte.

J'ai laissé échapper un gémissement de besoin et j'ai hoché la tête, incapable de former un mot.

J'ai haleté quand il a inséré sa bite, centimètre par centimètre, me remplissant d’une sensation de merveilleuse plénitude.

"Putain, tu es parfaite", dit-il à voix basse. "Tu es trop parfaite, putain. Incroyable."

Il changea de position. Ses poussées étaient exactement ce dont j'avais besoin pour me diriger, rapidement, vers un autre orgasme. Mes ongles ratissèrent son dos, pas assez fort pour briser la peau mais tout juste.

Il poussa une fois de plus, et j'ai serré mes jambes autour de lui, mes pieds sur son cul, l'aidant à entrer plus profondément.

"Plus fort, s'il te plaît", le suppliai-je, et il obéit.

Nous avons tous les deux haleté de plaisir lorsqu'il se retira puis me pénétra de nouveau, me remplissant complètement. Ses hanches ont poussé contre les miennes en de longs coups pulsés, et je savais que je n'allais pas tenir longtemps.

"Oh mon Dieu ! Xavier !" dis-je, en attrapant les draps et en mordant ma lèvre inférieure. "Mon Dieu, je vais jouir !" criai-je.

"Jouis avec moi, bébé. J’y suis presque." Il émit un grognement lascif.

Il continua à pénétrer en moi, prolongeant mon plaisir, et puis son dos s'arqua, et il gémit en jouissant.

J'ai explosé avec lui, sentant chaque vague de mon orgasme me traverser, me secouant involontairement. Il a enfoui son visage dans mon cou et a gémi pendant sa libération.

"Putain, c'était incroyable", dit-il, en m’enlaçant et en me tirant plus près.

Après plusieurs heures de sexe non-stop, j'ai quitté le lit et me suis dirigée vers la salle de bain pour me nettoyer. Une fois dans la salle de bains, je me suis glissée dans la baignoire.

Le rideau de bain s'ouvrit brutalement. J'ai crié et j'ai instinctivement couvert mon corps nu. Il m'a souri avant de me rejoindre dans la grande baignoire. "Tu m’as fait peur !" J'ai haleté, la main sur mon cœur.

"Désolé", marmonna-t-il en déposant un léger baiser sur ma bouche. "Mais l'idée de partager un bain avec toi était trop tentante pour résister."

Après plusieurs sessions de sexe de folie, nous étions maintenant paresseusement allongés dans l'eau depuis au moins une heure, tandis qu’il me massait la nuque.

Je me suis adossée à lui et il m'a entourée de ses bras. J'ai posé ma tête dans le creux de son cou et j'ai senti ses bras forts me tenir fermement, puis j’ai tourné légèrement la tête pour voir son visage.

Ses yeux s'assombrissaient d'une chaleur indéniable, et je pouvais sentir sa bite dure entre mes jambes. Je me suis tournée vers lui pour être sur ses genoux.

Mes yeux se sont baissés à nouveau vers sa bite. Mon cœur s'est emballé en anticipation.

"Que veux-tu que je fasse, bébé ?" demandai-je de manière séduisante.

"Je veux ta bouche sur ma queue", grogna-t-il.

Attrapant la base épaisse dans le creux de ma main, je me suis penchée et j'ai enroulé ma bouche autour de sa large couronne.

"C'est ça que tu veux ?" demandai-je, en faisant tournoyer ma langue sur le bout de sa bite.

Il a sifflé. "Oui, ma belle. Descends sur moi et suce-moi fort."

Sans trop y penser, j'ai glissé ma bouche le long de sa tige veloutée. Il avait un goût délicieux, un mélange viril de sucré et de salé.

Quand je suis arrivé près de la base, j'ai remonté ma bouche rapidement, maintenant que son érection était recouverte de ma salive.

J'ai fait tournoyer ma langue autour de la couronne et je l'ai entendu siffler à nouveau alors que je descendais aussi bas que possible. Le bout de sa bite a touché la base de ma gorge. "Putain. J'adore baiser ta bouche. Ne t'arrête pas."

J'ai commencé à monter et descendre rythmiquement le long de sa verge imposante, accélérant mon rythme à chaque glissement successif, fixé sur le plaisir extrême que je lui donnais.

Je ne pensais qu'à mon désir de le faire jouir tandis que son érection remplissait ma bouche et qu'un brouhaha de gémissements emplissait mes oreilles.

Il gémi bruyamment et ralenti son rythme. Mais je n'ai pas ralenti. "Mon Dieu, bébé. Ralentis ou je vais jouir dans ta bouche." Des gémissements et des grognements m’emplissaient les oreilles. J'ai perdu la notion du temps et de l'espace.

Alors que je descendais sur lui une fois de plus, sa bite a pulsé contre mon palais. Ses doigts se sont resserrés dans mes cheveux, mais il n'a pas essayé de m'arrêter.

"Putain, tu me fais trop du bien", gémi-t-il.

Pompant la base avec ma main, je l'ai lapé et sucé. Sa tête est tombée en arrière.

"Je vais jouir dans ta bouche", haleta-t-il. Je suis descendue sur lui plus rapidement, lui faisant savoir que je voulais chaque goutte. Et quand il a joui, c'était avec un grognement profond, et j'ai avalé chaque goutte salé de lui.

Il s'est retiré lentement de ma bouche, j'ai avalé et je l'ai regardé. Sa tête s'est arquée en arrière, et il a soufflé durement et longuement.

"Putain, tu es incroyable." Il m’embrassa doucement, me serrant contre lui.

"Je sais." Je lui ai fait un clin d'œil et j'ai grimpé hors de la baignoire pour me diriger vers la chambre. J'ai regardé l'horloge et j'ai vu qu'il était 5 heures du matin. Il est revenu quelques minutes plus tard.

Je me suis enfoncée dans les draps chauds, et il s'est allongé, me prenant dans ses bras. Il m’embrassa légèrement dans le cou et a murmuré : "Bonne nuit, ma belle".

"Bonne nuit, étranger", ai-je chuchoté en me blottissant contre lui. J'avais envie de dormir.

Il a gloussé. "Toujours un étranger", hein ? Même après avoir passé la nuit à ravir ton corps ?"

"Ouais, toujours un étranger ", dis-je contre sa poitrine. J'ai fermé les yeux, totalement vidée, et je me suis endormie.