« Oui ! » s'exclama-t-elle, cambrant le dos, les bras tendus et les mains agrippant fermement les draps.
Trey se mordit la lèvre en la pénétrant à nouveau, ses mains sur ses épaules pour la rapprocher. Ses cheveux noirs en bataille tombaient sur son épaule, et son dos tatoué brillait de sueur.
Il se pencha en avant, collant son torse contre son dos, et lui mordilla l'oreille. « Dis-moi ce que tu veux. » Sa voix était rauque, et ses hanches bougeaient lentement.
« Plus fort ! » gémit-elle, avide et impatiente. Ses mots murmurés faisaient frissonner sa peau et contracter son intimité. « J'ai besoin que tu y ailles plus fort ! »
Trey sourit. Il se retira et se caressa, glissant le bout de son membre durci le long de son sexe humide.
Elle étouffa un gémissement dans l'oreiller, mais ses fesses se pressèrent contre lui, en quête de plus.
« Tu en as vraiment envie, pas vrai ? » Trey rit doucement. Sa main agrippa ses cheveux, tirant sa tête en arrière. Ses lèvres étaient gonflées à force de les mordre, et sa respiration haletante l'excitait davantage. « Allez, montre-moi ce que tu sais faire. »
Il la tira encore plus en arrière, la faisant s'asseoir sur ses genoux. Elle s'appuya contre lui, sa poitrine généreuse exposée, et passa ses bras autour de sa tête. Elle ondula des hanches pour l'accueillir entièrement d'un coup.
Elle utilisait Trey comme appui pour monter et descendre, le serrant à chaque mouvement de ses hanches.
Trey était au septième ciel. Il suçotait son cou, admirant ses seins qui rebondissaient. Il ne put s'empêcher de les saisir et de bouger ses hanches pour accompagner chacun de ses mouvements.
« Encore... encore... encore ! »
Trey sentit des frissons parcourir son dos. Il ferma fort les yeux pour prolonger son rêve tandis qu'il bougeait ses hanches, savourant les sensations au bout de son sexe. Il s'efforça de se rappeler le visage de la femme de son rêve.
Il grogna en commençant à s'éveiller. Ce passage entre un rêve érotique et le réveil le fit gémir.
Alors que le visage de la femme de son rêve s'estompait et que la lumière du matin filtrait à travers ses paupières, il eut le souffle coupé en sentant une langue sur son sexe.
Baissant les yeux, il vit la femme qu'il avait rencontrée la veille entre ses jambes, nue, le caressant tandis que sa langue jouait avec le gland. Ses cheveux noirs s'étalaient sur ses cuisses alors qu'elle le léchait à nouveau avec gourmandise.
« Bonjour », le salua-t-elle d'une voix encore endormie.
