Les Meilleurs Amis de Mon Fils

C'était pendant la canicule de l'été 2018. Une chaleur torride régnait et je bronzais dans mon jardin. L'endroit est parfait pour cela, bien à l'abri des regards grâce aux grands arbres touffus qui entourent une haute clôture en bois. Je portais un bikini, mais avec la porte latérale verrouillée, j'aurais pu bronzer seins nus, voire complètement nue, comme je l'avais déjà fait par le passé.

Ce jour-là, j'avais opté pour le bikini. La raison principale était que mon fils était revenu de l'université et je savais que lui et ses copains allaient faire des allers-retours dans la maison tout le week-end. En tant que mère de deux enfants dont la taille de vêtements augmente avec l'âge, j'étais très consciente de mon corps et moins à l'aise à l'idée de le dévoiler.

Je m'appelle Jane, j'ai 46 ans et je suis divorcée. Mon ex-mari, un vrai goujat, m'a quittée pour sa jeune secrétaire, qui l'a ensuite vite largué. Il m'a suppliée de le reprendre, mais j'ai refusé, et je vis seule depuis sept ans maintenant.

J'habite notre ancienne maison familiale avec mon fils, Alex. Il a 19 ans, est en première année d'université, et il me manque beaucoup. Ma fille Alice, 18 ans, vit aussi avec moi, et ils sont comme le jour et la nuit ces deux-là.

Avec Alex à la fac, Alice et moi sommes plus proches que jamais, mais elle est rarement à la maison ces temps-ci. Elle sort beaucoup et passe le plus clair de son temps chez son copain. Ça fait presque deux ans qu'ils sont ensemble, et je me suis faite à l'idée qu'ils aient des relations intimes. Du coup, je me retrouve souvent seule à la maison.

J'avais fini ma journée de travail, et comme il faisait encore un temps superbe, j'ai décidé d'ouvrir une bouteille de vin et de me détendre au soleil. J'avais choisi un bikini avec un bas assez couvrant. J'ai des formes généreuses, avec de larges hanches et une poitrine 95C. Mais mes seins ne sont plus aussi fermes qu'avant. Je mesure 1m65 et j'ai de longs cheveux bruns ondulés, que j'avais attachés ce jour-là.

J'étais presque assoupie, mes lunettes de soleil me protégeant du soleil éclatant, presque à son zénith. J'ai tourné la tête en entendant une voiture se garer tout près. Des portières ont claqué et j'ai reconnu les voix de mon fils et ses amis - ils étaient de retour.

« Adieu mon moment de tranquillité », ai-je pensé en me redressant et en enfilant un t-shirt, les entendant traverser la maison vers le jardin.

J'ai vu ces garçons grandir. Ils sont meilleurs amis depuis le lycée et font tout ensemble. D'habitude, je m'entends bien avec eux - ce sont de braves gars, qui ne font jamais de vraies bêtises - mais ils aiment bien flirter.

En grandissant et en prenant de l'assurance, ils essaient toujours de me mettre dans l'embarras avec leurs remarques. Je sais que c'est pour plaisanter, mais ce sont tous de beaux garçons, et c'est agréable d'avoir un peu d'attention. Cela dit, ils ont l'âge de mon fils, j'ai presque 30 ans de plus qu'eux et je suis bien plus ronde que les filles de leur âge.

La porte de la cuisine s'est ouverte, et ça a commencé.

« Bonjour, Madame Jones. Ravi de vous voir. Vous profitez du soleil, à ce que je vois », m'a souri Ben.

Un autre s'est approché avec un grand sourire.

« Vous êtes superbe, maman d'Alex ! » m'a fait un clin d'œil Peter.

Je sentais que je rougissais ; je ne pouvais pas m'en empêcher. Je me suis levée en espérant qu'ils n'avaient pas remarqué mes tétons durcis.

« Bon, les garçons, vous voulez boire quelque chose de frais ? » ai-je proposé.

Je suis allée dans la cuisine et j'ai sorti des boissons fraîches du frigo. Alex m'a suivie.

« Alex, tu aurais pu me prévenir. J'aurais mis autre chose », ai-je dit.

Il m'a souri. Son sourire avait toujours le don de me remonter le moral. J'ai regardé mon petit garçon, devenu si grand.

« Maman, je te l'ai déjà dit. Tu es très bien comme ça. Tu n'as rien à cacher. Tu devrais montrer ton corps plus souvent, peut-être que tu trouveras quelqu'un. »

Ce n'était pas la première fois qu'il me disait ça.

« Je n'ai pas besoin de quelqu'un. Je t'ai toi. »

Il a souri.

« Tu sais ce que je veux dire. »

À ce moment-là, son ami David est entré.

« Salut, Madame J ! »

J'ai souri.

« Salut, David. Comment va ta mère ? »

« Oh, elle va bien », a-t-il répondu.

Alex l'a interrompu.

« Dave, ma mère pense qu'elle devrait se couvrir parce que vous êtes tous arrivés. »

David m'a regardée, ses yeux parcourant mon corps de haut en bas. Il a secoué la tête.

« Vous plaisantez, Madame J ? On l'a tous déjà dit à Alex. Vous êtes de loin la plus jolie maman parmi toutes nos mères. »

J'ai viré au rouge écarlate ; je pouvais sentir la chaleur sur mon visage. Alors qu'Alex sortait, il s'est retourné.

« Tu vois, Maman ? Je te l'avais dit. Maintenant enlève ce t-shirt. Il fait beaucoup trop chaud pour en porter un. »

David m'a souri.

« Il a raison, Madame J. Tenez, je vais vous aider. »

J'ai regardé Alex pour qu'il intervienne. Sûrement qu'il pouvait voir que ce n'était pas correct, mais il a juste souri et est sorti. Et avant que je ne réalise ce qui se passait, David avait tiré mon t-shirt vers le haut et par-dessus ma tête. Il s'est coincé dans mes cheveux pendant une seconde, et je ne pouvais pas voir, mais j'ai senti qu'il fixait directement ma poitrine, qui devait déborder du haut de mon bikini. Quand il l'a finalement enlevé, j'étais rouge comme une pivoine. Il tenait mon t-shirt et me regardait fixement.

« Wow, Madame J, vous êtes magnifique. Comment se fait-il que vous n'ayez personne dans votre vie ? » a-t-il demandé.

Il a souri et a pris une canette de Coca avant de partir. En partant, il s'est retourné.

« Si j'avais vingt ans de plus. »

Puis il est parti. Je pouvais sentir mon sexe palpiter. Si j'avais vingt ans de moins... Je savais que je devais m'éloigner.

Je suis montée dans ma chambre. Je me suis assise sur mon lit et j'ai baissé le bas de mon bikini. L'entrejambe était mouillé, et en vérifiant mon sexe, mon clitoris était gonflé et mes lèvres étaient enflées. Avoir tous ces jeunes hommes dans mon jardin n'était pas bon pour moi. Je me suis aspergé le visage d'eau puis je suis retournée au jardin. Quand je suis sortie en bikini, ils se sont tous retournés pour me regarder. Tous ont montré qu'ils appréciaient ce qu'ils voyaient.

« Wow, Alex, regarde ta mère », m'a souri Ben.

Soudain, j'ai adoré ça. Je suis sortie, me sentant confiante. Je me suis rassise sur ma chaise pendant que les gars s'installaient sur les autres chaises autour de la table et discutaient. J'ai écouté pendant qu'ils parlaient de filles, de leurs projets pour la soirée, toutes les conversations habituelles entre garçons.

J'étais allongée là, lunettes de soleil sur le nez, la tête en arrière, à écouter. Quelqu'un a mis de la musique, et les choses se sont calmées. J'ai entendu une conversation discrète à ma gauche. Je ne me souvenais pas qui était assis là, et je ne voulais pas bouger la tête de peur qu'ils s'arrêtent de parler. Je n'entendais pas tout ce qu'ils disaient - ils chuchotaient - mais je savais qu'ils parlaient de moi. J'ai entendu des bribes de conversation.

« —chatte poilue— tête entre ces seins— putain ouais, toute la nuit. »

Ça m'a beaucoup excitée ; il fallait que je regarde.

J'ai tourné la tête et j'ai vu qui c'était. C'était David et un autre ami d'Alex, Mark. Je me suis levée et leur ai souri en retournant dans la maison. Mon sexe était plus humide que jamais, et mes tétons étaient très durs et presque visibles à travers le haut de mon bikini.

Finalement, les gars sont partis se préparer pour leur soirée. J'ai préparé le dîner d'Alex, et dès qu'il était sur la table, sa sœur est rentrée à la maison, alors nous avons mangé tous les trois ensemble, ce qui était inhabituel. J'ai dit à Alice que ses amis étaient passés ; elle a ri.

« Ils t'ont taquinée, Maman ? »

J'ai rougi.

« Ils sont gentils, ce sont tous de bons gars », ai-je souri.

« Aucun d'entre eux n'a de petite amie ? » ai-je demandé.

Alice a ri.

« Pourquoi tu ris ? »

Elle a souri, puis a regardé Alex.

« Rien, Maman. »

Plus tard, alors qu'il était dans sa chambre en train de se préparer, j'ai coincé Alice.

« Pourquoi riais-tu tout à l'heure ? »

Elle a souri.

« Maman, Alex et ses amis ? On les appelle les garçons vierges. »

Je l'ai fixée. Elle a continué.

« Parce qu'ils sont tous vierges, Maman. Je ne pense pas qu'aucun d'entre eux n'ait jamais eu de petite amie. Donc quand ils te taquinent, ils ne savent pas ce qu'ils font. »

J'étais surprise, mais elle semblait sûre d'elle. Donc, ce n'étaient que des gars en manque, qui disaient des choses pour obtenir une réaction. Ils n'avaient aucune expérience et ne pensaient pas vraiment ce qu'ils disaient.