C'était un week-end agréable, et j'étais ravie d'avoir mon fils à la maison, même si ce n'était que pour deux nuits. Quand il est parti le dimanche, j'ai eu un petit pincement au cœur, surtout quand Alice m'a dit qu'elle allait encore passer la nuit chez son petit ami.
Je travaillais à mi-temps comme infirmière à l'hôpital du coin, et la semaine avait été chargée. Alors quand le week-end est arrivé, j'avais hâte de profiter d'un autre beau week-end. La météo s'annonçait clémente, alors j'espérais prendre un bain de soleil.
Après une longue journée au soleil le samedi, je m'étais allongée sur le canapé en nuisette et peignoir, un verre de rouge à la main, plongée dans mon livre pour me détendre. J'ai entendu une voiture s'arrêter devant la maison, mais je ne me suis pas levée car je savais qu'Alice était sortie avec son copain et qu'Alex était retourné à la fac. J'ai donc été surprise d'entendre quelqu'un frapper à la porte d'entrée. Je me suis levée et j'ai jeté un œil par la fenêtre, apercevant quatre amis d'Alex sur le pas de la porte.
J'ai fermé mon peignoir et ouvert la porte.
« Les garçons, Alex est à la fac », ai-je dit.
David m'a souri.
« On sait, Mme J. On est venus vous voir. Ça vous va ? » a-t-il demandé.
Je les ai regardés tour à tour. Ils avaient bu ; il était plus de vingt-deux heures. Tous me dévisageaient.
« Moi ? Vous êtes sûrs ? » ai-je demandé.
Ils ont tous hoché la tête. Mon cœur s'est emballé tandis que j'essayais de réfléchir à ce que je devais dire. Je me suis écartée.
« D'accord, entrez. »
Ils sont passés devant moi et sont entrés dans le salon. J'ai vu que deux d'entre eux avaient des canettes de bière, et un autre avait deux bouteilles de vin. J'ai fermé la porte derrière moi, je me suis retournée et je les ai suivis dans le salon.
« Je ne suis pas habillée, les garçons. Donnez-moi une minute, je vais me changer. »
David m'a arrêtée.
« Pas la peine, Mme J. Vous êtes très bien comme ça. »
Ils se sont assis, et j'ai vu que Mark et Peter ont pris les deux fauteuils, tandis que David et Ben se sont installés sur le canapé, laissant une place entre eux pour moi. Je suis restée debout à les regarder.
« Venez vous asseoir, Mme J. » David a tapoté la place.
J'ai soupiré et je me suis assise entre eux, les sentant pressés contre moi de chaque côté. Les canettes ont été ouvertes et distribuées, et ils ont commencé à me demander ce que j'avais fait. En parlant, j'ai remarqué qu'ils étaient tous concentrés sur moi. Et à mesure qu'ils buvaient et devenaient moins timides, moi aussi.
Je savais que je devais essayer de les faire sortir de la maison. Le fait qu'il y ait quatre jeunes hommes chez moi, que je sois en nuisette et que j'aie bu n'était pas une bonne chose. Je commençais à être excitée, et il devenait difficile de cacher mon émoi au fur et à mesure que la soirée avançait. Je les ai regardés.
« D'accord, les garçons, dites-moi la vérité. Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir ? Je suis sûre que vous saviez qu'Alex n'était pas là. »
Je les ai fixés alors que Mark et Peter, les deux sur les fauteuils, ont soudainement perdu leur assurance et détourné le regard. Je me suis tournée vers David.
« Alors, David ? »
Je l'ai fixé, voyant qu'il était mal à l'aise et avait du mal à parler. Mark a pris la parole.
« Dis-lui, Dave ! »
Je me suis tournée vers Mark.
« Me dire quoi, Mark ? »
Je l'ai fixé alors qu'il rougissait et baissait les yeux, gêné. Il a dit quelque chose que je n'ai pas entendu.
« Qu'est-ce que c'était, Mark ? » ai-je demandé.
Il a levé la tête et m'a regardée, prenant une inspiration.
« On est venus ici ce soir parce qu'on vous aime bien, Mme J. »
Mon cœur a fait un bond quand il a dit cela, et je me suis sentie excitée. C'était tellement mal ; ces garçons étaient les meilleurs amis de mon fils. Mais ils étaient aussi tous si attirants, et pour être honnête avec moi-même, j'avais pensé à eux quand j'étais seule.
Je les ai regardés tour à tour.
« C'est vrai ? » ai-je demandé.
Ils me fixaient tous maintenant, et un par un, ils ont hoché la tête.
« Alors, vous dites que vous m'aimez bien tous. Quel était le plan ? Venir ici et tous coucher avec moi ? »
Ils m'ont regardée comme s'ils étaient choqués et ne pouvaient pas parler. Et chacun d'eux est devenu rouge écarlate, mais aucun n'a répondu.
« Laissez-moi vous demander quelque chose, les garçons. Est-ce que l'un de vous a déjà couché avec quelqu'un ? »
Ils ont attendu, puis un par un, ils ont tous secoué la tête. J'ai souri.
« Alors, vous êtes tous les quatre puceaux. Et vous pensiez que ce serait une bonne idée de venir ici ce soir et de coucher avec moi pour la première fois ? »
Encore une fois, ils avaient l'air gênés et comme s'ils ne voulaient pas être là.
« Détendez-vous, les garçons. Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je ne vous ai pas demandé de partir. »
Peter a pris la parole en premier.
« Vous voulez dire ? » a-t-il dit, ayant du mal à parler.
« Je veux dire que je suis contente que vous me trouviez attirante. Mais vous êtes les meilleurs amis de mon fils. Comment pourrais-je savoir que vous ne lui diriez pas tout si je le faisais ? »
Ils m'ont tous regardée et ont commencé à dire qu'ils ne lui diraient jamais. J'ai souri alors qu'ils se détendaient lentement. J'ai regardé Mark.
« Dis-moi, Mark, jusqu'où es-tu allé avec une femme ? »
Il a regardé ses amis et semblait très gêné.
« Euh, j'ai touché des seins. »
Il a baissé la tête, gêné.
Je me suis tournée vers Peter et lui ai demandé.
« J'ai mis mes doigts à l'intérieur d'une fille, et elle m'a touché. »
Il semblait fier.
« David ? »
« Euh, embrassé. »
J'ai souri ; il était probablement le plus beau. J'étais surprise par lui.
« Ben ? »
Il a soupiré.
« Je n'ai jamais eu de copine. »
J'ai remarqué les autres sourire, se moquant de lui.
« Hé ! Ça ne va pas aider. Soyons honnêtes, aucun de vous n'a de quoi se vanter en matière de sexe, n'est-ce pas ? » J'ai haussé le ton.
Les trois ont baissé la tête, et j'ai posé ma main sur celle de Ben et l'ai serrée. Il a souri.
Je les ai regardés.
« D'accord, les garçons. Disons que je suis d'accord. Comment pensiez-vous que ça allait se passer ? Vous pensiez que vous alliez tous coucher avec moi en même temps, tous dans la même pièce ? Ou un par un ? »
Ils se sont regardés, clairement sans plan. Encore une fois, Peter a pris la parole.
« Pour être honnête, Mme J, on pensait que vous nous demanderiez de partir. »
J'ai souri.
« Je pourrais encore le faire. »
Ils ont baissé les yeux, et j'ai ri.
« Pour l'amour du ciel, les garçons, détendez-vous. »
J'ai dit à Mark de distribuer d'autres boissons, et pendant qu'il le faisait, j'ai continué.
« Pour être franche, les garçons, je ne pense pas que l'un de vous serait assez à l'aise pour coucher devant ses amis. Croyez-moi, ça demande beaucoup de cran et d'expérience. »
Ils ont tous hoché la tête en signe d'accord.
« Est-ce que l'un de vous a déjà vu une femme nue en chair et en os ? »
Certains avaient vu des parties du corps d'une femme, mais pas une femme entièrement nue. J'ai souri.
« D'accord. Voyons comment ça se passe. Pour commencer, je veux que vous vous déshabilliez tous, ici, jusqu'à vos sous-vêtements. Quand vous aurez fini, j'enlèverai mon peignoir et ma nuisette, et vous pourrez regarder. Ça vous va ? »
Ils se sont regardés, ont hoché la tête, se sont levés et ont commencé à se déshabiller. Certains étaient plus confiants que d'autres, mais rapidement, les quatre se tenaient en sous-vêtements, et tous étaient excités. Je les ai regardés et je pouvais voir qui était le plus grand et qui était le plus petit. Je leur ai dit qu'ils avaient bien fait.
« Changement de plan, les garçons. Puisque vous avez tous si bien fait, je veux voir ce qu'il y a dans ces caleçons d'abord. Des objections ? »
J'ai regardé autour de moi, et j'ai vu que Ben était nerveux. Je me suis approchée de lui.
« Ben, ça va, mon chou ? » ai-je demandé.
Il a hoché la tête, mais je pouvais le voir trembler. J'ai souri.
« Ce serait plus facile si je les enlevais ? » ai-je demandé.
Il a regardé les autres, puis a hoché la tête. J'ai souri et je l'ai regardé alors que je mettais mes doigts dans le haut de son caleçon et que je le baissais. Son sexe dur est sorti alors que je poussais son caleçon à ses pieds. J'ai reculé et regardé son pénis. Il avait l'air bien, pas long, environ quinze centimètres, mais il était dur, et le bout était mouillé. J'ai regardé les autres ; aucun d'eux n'avait bougé. J'ai souri.
« Je suppose que vous voulez tous que je vous les enlève ? »
Ils ont tous hoché la tête. Alors, je suis allée vers chacun d'eux, et bientôt j'avais les quatre garçons debout dans mon salon, nus, avec leurs sexes durs pointant vers moi. J'ai reculé et regardé. C'était une belle vue. Ben semblait être le plus petit à quinze centimètres, Mark était légèrement plus grand, Peter faisait un bon dix-huit centimètres, et David était le plus grand, plus de dix-huit centimètres, et il avait l'air impressionnant.
Je leur ai dit de s'asseoir, et j'ai regardé autour de la pièce.
« D'accord. J'ai promis, alors allons-y. »
J'ai laissé tomber mon peignoir et enlevé ma nuisette par-dessus ma tête et je me suis tenue devant eux, nue. Mes seins étaient fermes avec des tétons bruns durs, et j'avais des poils courts entre les jambes qui étaient mouillés d'excitation. Les quatre me fixaient alors que je me tenais devant eux. J'essayais de ne pas le montrer, mais je tremblais d'excitation. Je n'arrivais pas à croire ce que j'avais fait. Je me suis tournée vers chacun d'eux pour qu'ils puissent bien voir.
« Oh, Mme J », a soupiré Mark.
J'ai souri.
« Les garçons, si on fait ça, appelez-moi Jane. »
Ben m'a fixée.
« Waouh, Jane, tu es canon. Tu es la plus sexy de nos mères. »
J'ai souri et l'ai remercié.
Je les ai regardés et j'ai pris ma décision. C'était en train d'arriver !
« D'accord, les garçons. Je ne pense pas que vous soyez prêts à ce qu'on couche tous ensemble. Alors, on va devoir y aller un par un. Des objections ? »
Ils ont tous hoché la tête, et j'ai souri.
« Vous avez le temps ? Ça prendra peut-être deux heures ou plus. »
Encore une fois, chacun a hoché la tête en signe d'accord. Je les ai regardés ; j'irais dans l'ordre de taille. Mes yeux se sont posés sur Ben. Je lui ai souri et lui ai tendu la main.
« Allez, Ben, tu es le premier. »
