Enneigés

MAY

Aiden a tiré ma tête en arrière et m'a embrassée brutalement. Il a sucé ma lèvre inférieure et l'a mordillée. Il a pris mes deux mains et les a placées au-dessus de moi, je les ai instinctivement enroulées autour des barres de la tête de lit.

« Garde tes mains ici. Si tu les bouges, c'est ton cul qui va trinquer », m’a-t-il chuchoté brutalement à l'oreille. J'ai hoché la tête en guise de réponse. J'ai alors senti à nouveau une vive douleur sur mon cul.

« Quand je pose une question, je veux une réponse verbale. C'est compris ? » Il a gardé sa main sur mes fesses, pour me rappeler ce qui se passerait si je n'obéissais pas.

Malgré la douleur, je mouillais comme une folle. Cela m'excitait et je voulais qu'il me baise.

« Oui », ai-je murmuré en m'agrippant plus fermement aux barres. Qu'est-ce que cet homme me fait ? Pourquoi mon corps réagit comme ça à ses ordres ? Je le veux tout entier.

Aiden a laissé une traînée de baisers le long de mon dos jusqu'à ce qu'il atteigne mes fesses. Il a lentement enlevé mon string et l'a jeté à l'autre bout de la pièce. Ma chatte était toute mouillée.

Il a soufflé sur ma chatte trempée, en la regardant frémir en réaction. Il a serré fort mes fesses, puis les a écartées pour mieux accéder à mes douces lèvres du bas, en utilisant sa langue pour les lécher.

Sa langue chaude était si bonne alors qu’il léchait ma mouille. Il a trouvé mon clito et l'a sucé, provoquant une montée de plaisir dans tout mon corps. Je me suis accrochée aux barres, et je ne voulais pas que ce plaisir s'arrête.

Aiden a introduit deux doigts dans ma chatte, en massant mon vagin. Ma chatte s’est resserrée autour de ses doigts. Je ne pouvais qu'imaginer ce que sa bite ferait dans ma chatte.

Il a sucé mon clito plus fort et a doigté ma chatte plus rapidement, encouragé par mes doux gémissements qui résonnaient dans la pièce. Il pouvait sentir que j'étais sur le point d'atteindre mon point culminant, car ma chatte se contractait.

« Ne jouis pas avant que je te le dise. C'est compris ? » Il a retiré sa bouche de mon clito et s'est concentré sur le fait de doigter ma chatte, en testant ma maîtrise de soi.

« Je ne peux pas me retenir », ai-je soupiré, je voulais me laisser aller. J'ai tenté de rapprocher mes jambes pour atténuer la pression, mais Aiden s'y est opposé.

« Tu le peux et tu vas le faire », a-t-il grogné en me mettant trois doigts et en caressant mon clitoris avec son pouce.

Le plaisir était trop fort, et j'ai poussé un cri alors que mon corps se contractait, cédant à la pression, et j'ai eu mon premier orgasme avec un homme depuis longtemps.

« Tss, tss. Qu'est-ce que je t'ai dit ? » a dit Aiden avec un ton menaçant, mon désir pour lui s'intensifiait à chaque instant. Il savait que j'allais jouir.

Il voulait punir mon cul, me donner un avant-goût de ses sombres désirs, et voir comment j’allais gérer ça. J'étais encore dans le flou de mon orgasme et je n'avais pas encore compris ce qu'Aiden venait de dire.

J'ai sursauté quand il m'a donné une fessée qui a sûrement laissé une autre marque sur ma peau sensible. Il m'a retournée et m'a souri.

« Voilà ta punition maintenant. » Aiden avait l'air excité à l'idée de me donner ma punition. Il aimait beaucoup me donner la fessée et je me demandais ce qu'il avait encore en tête.

« J’espère que tu as apprécié cet orgasme, parce que c'est le dernier que tu auras ce soir. »

J'ai remarqué qu'il regardait la ceinture, et avant qu'il ne puisse la saisir, je me suis précipitée pour l’attraper. Je ne savais pas pourquoi j'ai fait ça, mais c'était mon instinct, et je l'ai suivi. Aiden a haussé un sourcil et laissé échapper un rire ombrageux, amusé par mon geste.

« Bien essayé, ma belle, mais remets-la moi ou ta punition sera pire. » Il a tendu la main, attendant que je lui remette la ceinture, mais au lieu de cela, je l’ai placée derrière mon dos et me suis éloignée d'Aiden sur le lit.

« Non. Tu ne joues pas franc jeu. » Je me suis accrochée à la ceinture comme si ma vie en dépendait, ce qui semblait être le cas à ce moment. Je ne savais pas de quoi Aiden était capable, et je n'allais pas le laisser faire tout ce qu'il voulait.

Son regard est devenu sombre et calculateur, il a tendu la main pour m’attraper une jambe et m'empêcher de m'éloigner, mais il ne s'attendait pas à ce que je lui donne un coup de pied dans la poitrine.

Ce n'était pas très fort, mais suffisant pour le mettre un peu en colère, ce qui ne faisait que m'amuser. Il a vu mon petit sourire et a secoué la tête en gloussant.

« Putain, j'aime les femmes fougueuses. Continue à te débattre, May. Tu vas me donner envie de te punir encore plus fort », a-t-il grogné d'une voix grave, en maintenant toujours ma jambe contre le lit, et il a sorti une paire de menottes de la table de chevet.

Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Avant que je puisse réagir, il avait placé une menotte autour de ma cheville, et avait attrapé mon autre jambe pour les attacher l'une à l'autre~.~

J'étais à sa merci. J'ai tenté d'écarter les jambes, mais elles ne se sont pas écartées plus que la chaîne me le permettait.

« Maintenant, tu vas m’obéir et me remettre cette ceinture, ou tu veux encore plus tester mes limites ? » J'ai pris un instant pour évaluer ma situation.

Si je lui donnais cette ceinture, je serais complètement impuissante. Même si mes jambes étaient attachées, j'avais encore mes mains. Mais il ne semblait pas prêt à reculer non plus.

N'abandonne pas, May. Tu as toujours le contrôle. Jelui ai fait un sourire confiant. « Viens la chercher toi-même. »

Il a souri et a fait ce à quoi je m'attendais. Il a rampé sur moi, mais au lieu de passer la main dans mon dos pour récupérer la ceinture, il a pincé mon téton dénudé. Je ne m'attendais pas à cela, et Aiden n'a pas été tendre non plus.

Il a tordu mon téton, provoquant une douleur aiguë qui a également mouillé ma chatte. J'ai un peu tressailli et, alors que j’étais dans cet état de vulnérabilité, Aiden a récupéré la ceinture derrière mon corps.

Maintenant, j'étais totalement à sa merci. Il a continué à agresser mon téton et j'ai gémi en réaction. J’ai placé une main sur la sienne, incapable de supporter la douleur plus longtemps.

Il n'a pas eu de pitié, il a tordu mon téton, l'a tiré vers lui, j'ai poussé un cri de plaisir et j'ai rapproché mon corps du sien pour atténuer la pression.

« Maintenant, tiens-toi bien et peut-être que je vais y aller mollo avec toi. Tu comprends, ou je dois te convaincre davantage ? »

Il a tiré sur mon téton pour me rappeler ce qui se passerait si je continuais à lutter contre lui. J'ai rapidement hoché la tête et j'ai tout de suite su que c'était une erreur.

Il allait certainement prendre plaisir à me punir alors que j'étais étendue sans défense devant lui. « Je veux des mots, May. » Il a mordu mon téton très fort.

J'ai hurlé : « Oui, je comprends ! » Il m'a attrapé les mains, a noué la ceinture autour de mes poignets et l'a accrochée au montant du lit.

Même si j'avais un peu peur de lui, j'étais surtout excitée à l'idée de ce qu'il allait faire ensuite.

Il m'a embrassée doucement sur les lèvres, comme pour me faire savoir que j'étais en sécurité avec lui, et s'est levé du lit. Il s’est dirigé vers un placard et en a sorti une raquette noire. Mes yeux se sont écarquillés de peur et d'excitation.

« Tu sais ce qu'est un mot de sécurité ? » Il s'est placé à côté de ma tête et a suivi le contour de mes lèvres avec son pouce, avant de pincer ma lèvre inférieure.

Sa bite dure était juste à côté de mon visage, encore dans son caleçon, et je me suis demandé quand il allait enfin me baiser.

Il a remarqué que je la regardais fixement et a souri. Il s'est penché et a murmuré contre mes lèvres : « En temps voulu, ma belle. Maintenant, réponds à ma question. »

« Oui », ai-je murmuré. Je connaissais un peu le monde du BDSM grâce à mes lectures de romans coquins, et au peu d'expérience que j'avais eue avec mes précédents petits amis.

Aiden m'a embrassée très fort, en me tenant fermement par la gorge, serrant juste assez pour que j'aie peur de ne plus pouvoir respirer. Je sentais que ma chatte était trempée à ce moment-là.

Aucun homme ne m'avait jamais fait ressentir ça, et même si je ne le reverrais plus jamais après ce soir-là, je voulais vivre pleinement ce qu'il voulait faire avec moi.

Je l'ai embrassé en retour avec autant de désir, et il a serré mon cou un peu plus fort en réaction, alors que nos langues luttaient pour la domination, mais nous savions tous les deux qui gagnerait ce combat, et Aiden n'a pas été déçu.

Il a pris l'initiative du baiser puis a embrassé tout mon corps. J'ai senti la fraîcheur de la raquette contre mon téton et j'ai sursauté.

Il a continué à embrasser mon ventre, en tapotant mon nombril avec sa langue, puis est descendu vers mon vagin, jusqu'à ce qu'il atteigne mes lèvres et taquine mon clitoris avec le bout de sa langue.

J'ai gémi et mon corps s'est éloigné de ses lèvres, mon clitoris étant encore sensible à la torture qu'il m'avait infligée.

« Quel est ton mot de sécurité, May ? » Il m'a regardée dans les yeux, attendant patiemment ma réponse, en déposant des baisers doux comme des plumes sur mes cuisses.

« Iris. » Ma voix était à peine un murmure. Aiden a gloussé et soulevé mes jambes, les écartant autant que les menottes le lui permettaient, et les a placées sur ses épaules.

Sa tête était entre mes jambes, et il les maintenait fermement avec ses mains. J'étais prise au piège et je ne pouvais pas bouger, même si j'essayais.

« Ne jouis pas cette fois, et peut-être que je ne vais pas te punir. Ne bouge pas non plus. C'est compris ? » Il m'a regardée en attendant ma réponse, et je n'ai pas oublié cette fois. « Oui. »

Ses yeux parlaient pour lui. Il a sucé mon clito en léchant ma mouille.

J'ai poussé un cri car mon clito était encore tout gonflé et, n'ayant pas eu le temps de me reposer, le plaisir s'est intensifié, je n'avais jamais ressenti une telle montée de plaisir de toute ma vie.

Le plaisir irradiait de ma chatte dans tout mon ventre, et je sentais déjà la pression monter si vite que j’ai compris que je ne tiendrais pas une minute de plus.

« S'il te plaît, arrête. Je ne peux pas. Je vais jouir ! » ai-je crié, des larmes coulaient sur mon visage et mes mains s'accrochaient fermement à la ceinture, ne sachant pas réagir car je n'avais jamais ressenti un tel plaisir de toute ma vie auparavant, seule ou avec un homme.

« Déjà, ma petite ? Je n'ai même pas commencé. Si tu jouis, tu auras une autre punition. » Il m’a souri d'un air sombre avant de retourner entre mes jambes pour continuer son assaut sur ma chatte.

Je pleurais de plaisir quand il a plongé sa langue dans mon orifice, tout en utilisant son pouce pour faire bouger mon clito d'avant en arrière. J'ai crié alors que j’avais la sensation d’un millier de papillons dans le ventre.

Aiden a utilisé deux doigts pour me pincer le clito, et j'ai eu un nouvel orgasme. Je ne savais pas combien de temps je suis restée ainsi, jusqu'à ce que mon corps s'effondre sur le lit, épuisé, après être redescendue de ma transe.

Je respirais difficilement et je savais que j'allais avoir un problème avec Aiden. Je l'ai regardé, effrayée par ce qu'il allait me faire.

« Désolée. Je n'ai pas pu me retenir. » J'ai respiré rapidement en essayant de provoquer chez Aiden toute la pitié possible.

« Tu vas avoir besoin de beaucoup d'entraînement, ma belle, sinon je ne vais faire que te punir au lit. »

Il semblait savourer chaque instant de ma peur. Il a regardé ma poitrine, qui se soulevait et s’abaissait fort et de façon irrégulière à cause de mon essoufflement, et j'ai gémi, sachant qu'il allait utiliser la raquette sur moi maintenant.

Il a soulevé mes jambes de ses épaules et m'a fait basculer rapidement sur le ventre.

« À quatre pattes », a-t-il grogné, en me donnant une petite fessée avec la raquette, comme un avant-goût de la punition à venir.

J'ai suivi son ordre, en espérant qu'il en tiendrait compte lorsqu'il infligerait sa punition à mon pauvre cul.

J'ai entendu un bruit derrière moi, mais avant que je puisse me retourner pour regarder, il m'a mis un bandeau sur les yeux. Il l'a attaché solidement derrière ma tête, en s'assurant qu'il n’allait pas se défaire.

« N'oublie pas ton mot de sécurité, May. Maintenant, qu'est-ce que tu penses de vingt pour commencer ? Je pense que tu peux les encaisser », a-t-il dit d'une voix ferme en me serrant une fesse.

J’ai gémi en réponse lorsqu'il a enroulé mes cheveux autour de sa main et a tiré ma tête en arrière, me forçant à cambrer le dos.